Je n'ai pas le goût des rubriques nécrologiques.
Et le décès de Jirô Taniguchi ne me fera pas changer.

Son départ est juste l’occasion pour proposer de le retrouver à travers un film et une émission de radio.




Ensuite, puisque j'écris ce billet alors que l'heure du repas approche, je relirai son Gourmet Solitaire.

Jirô Taniguchi, Le gourmet Solitaire, Casterman

Comme toujours, sa lecture me donnera envie de manger japonais.

Le hasard faisant, parfois, bien les choses, j'avais prévu du porc mariné dans une sauce Teriyaki pour le déjeuner dominical, avant d'apprendre le décès du maître de Tottori.

Jiro Taniguchi sera donc un peu présent à table, avec moi ce midi.
Et ses livres seront toujours là, dans ma bibliothèque, à attendre d'être relus.