Un texte sur une scène qui n'est pas photographiée et qui pourtant donne son titre à l'exposition.
Des photographies sans titre, ni date, ni localisation.

La rencontre avec Vanessa Winship, Impasse Lebouis, est un petit morceau de temps suspendu, un rien mystérieux, d'une grande quiétude.

Partie à travers les États-Unis, pour photographier la persistance du rêve américain, la photographe anglaise en écrit un récit intime, composé de portraits ou de paysages.

Dans chacun de ses portraits, il y a la confiance du sujet qui s’abandonne à l’objectif, dans leur quotidien.
Dans chacun de ses paysages, il y a la vie, banale ou surprenante, la vie simplement.

Peu importe que ces hommes et ces femmes soient américains,
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”

Vanessa Winship “She Dances on Jackson”
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”

Peu importe que ces paysages soient d'Amérique du Nord,
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”

Vanessa Winship “She Dances on Jackson”
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”

Vanessa Winship “She Dances on Jackson”
Vanessa Winship “She Dances on Jackson”

ils nous parlent de tous les endroits de la terre et de tous ceux qui y vivent.

Il faut lire le journal de Vanessa Winship, dans les vitrines du dernier étage de la Fondation, pour connaître quelques-unes des histoires derrière les images découvertes auparavant:
Ce travail est un chapitre, une citation d’Amérique à un moment précis de son histoire et aussi de la mienne.

Et repartir, apaisé et sous le charme diffus de ces morceaux de vie, ces pures photographies, à nos yeux offerts.