Séparer le bon Pellegrin de l’ivraie
Par L'Oeil Curieux le mercredi 17 avril 2013, 23:17 - Clins d'oeil - Lien permanent
Point besoin de trier entre les bonnes et les mauvaises images dans le numéro printanier 2013 de « 100 photos pour la liberté de la presse ».
Car Paolo Pellegrin est vraiment un grand nom du photojournalisme.
Mais après le glamour hollywoodien de la précédente livraison de RSF, le photographe italien nous entrainera dans un monde de guerre et de chagrin.
Palestine
© Paolo Pellegrin/Magnum Photos
Un monde, notre monde, dans lequel la liberté de la presse et le travail d'un Paolo Pellegrin sont des biens fragiles et précieux (et néanmoins accessibles pour une dizaine d'euros dès le 2 mai !)
PS Je me rends compte, avec ce billet, que je devrais remercier Reporters Sans Frontières de m'aider, comme Jeanne de France, à publier des billets.
Mais dans le cas présent, le sujet est vraiment dans la thématique de mon blog.
L'honneur est sauf...