Il est raisonnable de penser que vous ne liriez pas ce billet si, le samedi 19 août 2023, j'avais d'abord visité l'exposition "Johan van der Keuken" et non celle consacrée à Frank Horvat.

J'aurais certainement été plus réceptif à la démarche de l'artiste, à ce dialogue constant qu'il a mené entre image fixe et image animée.
Mon billet aurait probablement été plus développé, avec plus de photographies et de vidéos, couvrant les nombreuses "séquences" de la riche carrière du photographe/cinéaste néerlandais.

Mais à moins de vous projeter dans un univers parallèle dans lequel L'Oeil Curieux a d'abord vu "Johan Van Der Keuken Le rythme des images", vous ne lirez jamais que ces quelques lignes qui suivent, avec 4 photographies et 2 courts métrages.

Deux images pour la géométrie.
Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1966. © Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.
Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1966.
© Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.

Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1966. © Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.
Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1966.
© Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.

Deux pour les séquences dans des images fixes.
Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1963. © Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.
Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1963.
© Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum

Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1966. © Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.
Logement pour étudiant, Weesperstraat, Amsterdam, 1966.
© Johan van der Keuken / Nederlands Fotomuseum.

"Paris à l'aube", qui est en quelque sorte l'aube du cinéaste Van der Keuken puisque ses impressions de Paris étaient tournées les matins à partir de 4 heures, à l’époque où il effectuait ses études à l’Idhec.


"Temps/travail", typique de son travail cinématographique, avec un excellent montage, très rythmé et répétitif, de gestes quotidiens d’hommes et de femmes au travail, à travers le monde.


Comme diraient les shadoks : "C'est tout pour aujourd'hui".